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85. (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -

Voilà, dans cette seule scène, tous les personnages connus et le sujet de l’action même indiqué. […] La scène la plus gaie des Fourberies de Scapin et la scène la plus forte peut-être de l’Avare ont été empruntées par lui, l’une à Cyrano de Bergerac et l’autre à Boisrobert. Cette scène est bonne, disait-il, je m’en empare : on reprend son bien où on le trouve. C’était son bien, en effet, qu’une bonne scène de comédie. […] On y parla beaucoup des grands auteurs et des grands acteurs qui ont illustré la scène de Paris et celle de Londres.

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