Il bâtit à la diable ; ses dénouements sont conventionnels, parfois puérils ; dans telle de ses comédies, on pourrait sans inconvénient et sans, que le public s’en aperçoive, intervertir l’ordre des scènes. […] Il vivait encore qu’elle traduisait plusieurs de ses pièces et, dans la suite, elle a transporté sur toutes ses scènes son œuvre originale, traduite, imitée ou arrangée. […] Mettez-les sur la scène : le public aura peine à reconnaître en eux les originaux dont ils sont la copie aussi fine que scrupuleuse. […] À la scène II du 3e acte seulement, il paraît pour la première fois et il prononce les quatre vers fameux : « Laurent, serrez ma haine… » Paroles qui expriment du premier coup toute l’hypocrisie du personnage, qui en rendent un témoignage probant au spectateur le plus obtus.