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235. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Des Pieces intriguées par un Valet. » pp. 125-134

Il sauroit que nos jeunes gens mêmes ne se fient plus à nos intriguants subalternes, pour tromper les oncles & les tuteurs de leurs maîtresses ; que les modernes amours ont des courtiers plus décents, quoiqu’ils fassent la même chose ; qu’un état ne doit pas empiéter sur l’autre ; que les valets, en un mot, n’ont plus de crédit que chez les vieux garçons ». […] « Il sauroit que nos jeunes gens même ne se fient plus à nos intriguants subalternes pour tromper les oncles & les tuteurs de leurs maîtresses ». […] Je ne savois pas qu’une des graces du mariage fût de mettre les hommes à l’abri des fourberies, & sur-tout à Paris.

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