D’Orval, désespéré de plaire à Constance, & craignant d’être deviné par Rosalie, ne sait comment paroître aux regards de la derniere. […] D’Orval veut savoir la cause de son combat ; Clairville se fait prier, & dit enfin qu’il s’est battu contre deux hommes, dont l’un disoit que Constance aimoit d’Orval, & l’autre que d’Orval étoit amoureux de Rosalie. […] Je ne sais si dans la nouveauté de cette piece les ennemis de M. […] « Je voudrois bien qu’on eût une douzaine de pareils larcins à me reprocher ; & je ne sais pas si le Pere de Famille aura gagné quelque chose à m’appartenir en entier ». […] Je ne sais si M.