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153. (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266

La vertu qui ne sait pas se poser, et qui ne représente pas, le laisse passablement froid. […] Veut-on savoir exactement de quelle nature est cette influence ? […] On n’en saurait douter, dans l’histoire intime du poêle, dans son cœur. […] Je ne sais quel souffle frais et vivifiant des Alpes a passé par là, qui rajeunit et féconde tout ce qu’il touche. […] Rambert, et cependant il a su y découvrir des sentiers inexplorés.

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