A l’appel du frère de done Elvire, il répond : « Vous savez que je ne manque point de cœur et que je sais me servir de mon épée quand il le faut. […] C’est là l’idée terrible et profonde que le grand comique philosophe a su couvrir, sans la cacher, de toutes les fleurs de sa sérieuse gaieté. […] La légende que chacun savait par cœur en Castille l’exigeait ainsi. […] Molière, comme on sait, et après lui Mozart, n’ont pas admis dans leurs drames ce second repas, sans doute parce qu’ils ont pensé que l’emploi redoublé d’un ressort surnaturel ne peut avoir qu’un effet languissant sur l’imagination. […] On ne saurait mieux rendre qu’ils ne l’ont fait l’un et l’autre cette naïve pastorale du second acte, comparable aux plus charmantes églogues de l’antiquité.