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15. (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134

Les Femmes savantes (1672), pp. 5/93. […] Il donnera donc aux femmes savantes quelques ridicules des savants masculins, mais il ne leur donnera pas des ridicules provenant de la qualité de femme réunie à celle de savant. […] Le bonheur public ne demande qu’un nombre de savantes très limité. […] La qualité de savante détruit net la grâce, l’extermine partout. […] Chrysale et les trois femmes savantes sont pour moi dans ce cas.

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