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95. (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126

Le Tartuffe est une peinture très frappante de l’hypocrisie, et qui donne le signalement le plus exact de ce vice ; c’est une excellente satire sérieuse, mais, à quelques scènes près, ce n’est pas une comédie. […] Encore pourrait-on passer par-dessus ces imperfections de l’art en faveur de la force de la satire.

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