à ces grands faiseurs de silhouettes crayonnées sur les murs de l’antichambre, je préfère encore les satiriques, race acharnée et mal élevée, il est vrai, mais la satire même finit par arriver à je ne sais quelle ressemblance violente, qui ressemble à la comédie ou à l’histoire, comme le bistouri qui sauve ressemble au couteau qui égorge ! […] Cette image à faire de la ville où fut engendrée la comédie, où la satire a vu le jour, grâce à deux parisiens, c’est à proprement dire, la mer à boire ! […] À Dieu ne plaise que nous tentions d’écrire ici la vie entière de mademoiselle Mars ; un chapitre complet dans ce livre… et notre livre serait perdu, tant ce chapitre au grand complet, serait la satire de tous les autres.