Louis Racine nous apprend que ce même Despréaux fut sa satire sur Le Festin, publiée en 1665, chez le comte de Brancas en présence de madame Scarron et de madame de La Sablière, dont nous parlerons dans un moment. […] Louis Racine nous apprend qu’elle était chez le duc de Brancas quand Boileau y fit sa satire du Festin, en 1665.