Deux Satires, MM. […] Deux Satires chantants, les sieurs de La Grille et Bernard. Deux Satires voltigeants, les sieurs Meniglaise, et de Vieux-Amant. […] « [*]L’abbé Cotin, irrité contre Despréaux, qui l’avait raillé, dans sa troisième Satire, sur le petit nombre d’auditeurs qu’il avait à ses sermonsa, fit une mauvaise satire contre lui, dans laquelle on lui reprochait comme un grand crime d’avoir imité Horace et Juvénal, etc. Cotin ne s’en tint pas à sa satire, il publia un autre ouvrage sous ce titre : La Critique désintéressée sur les satires du temps, in-8°, 1666.