Il n’est pas même sûr que Molière ait compris d’abord tout ce que signifiait la satire qu’il venait de lancer. […] Les comédies d’Aristophane sont des satires avouées. […] C’est le comique tel qu’il apparaît dans la satire. […] Son œuvre, qui participe de la licence des mœurs athéniennes, en est une ingénieuse et éloquente satire. […] Il faut s’estimer heureux quand il y a dans une satire de l’honnêteté et du courage.