Mais les philosophes n’étaient pas tout à fait sages, les critiques ne sont pas tout à fait religieux. […] elle existe encore, mais ce n’est plus l’homme pervers, c’est le sage qui se déguise. […] Nanine paraît sur la scène, et ce n’est plus un jeune seigneur perdu de mœurs, c’est un sage qui se mésallie. […] Ce serait ici le lieu de parler d’une comédie qui dut causer un grand scandale ; mais je ne la nommerai point, parce que, s’il est certain que cet ouvrage a signalé des sophistes dangereux, il n’est pas moins vrai, que son titre a calomnié des sages.