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109. (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98

On le sait, du reste, celle-ci est celle que préconise le sage et excellent Ariste dans l’École des Maris, c’est-à-dire qu’elle est le contre-pied de l’autre : Molière ne peut pourtant être ensemble Ariste et Arnolphe. […] Chrysale n’est pas le sage des Femmes savantes, tant s’en faut : ce sage, c’est Clitandre, qui consent qu’une femme ait des clartés de tout : c’est surtout Henriette, la plus parfaite des créations féminines de Molière.

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