et les doit-on considérer comme des jeunes gens de quelque espérance, dont le roi aurait assuré l’avenir en encourageant leurs débuts ? […] On sait combien le roi goûtait peu ce bel-esprit chimérique, et la correspondance de Fénelon prouve qu’il n’était guère plus juste à l’égard du roi. […] Rien ne prouve d’ailleurs qu’il ait eu le moindre rapport avec le roi. […] C’est que l’influence littéraire du grand roi a été ou nulle ou fatale. […] Bien donc, dit-il : il me fera plaisir. » Ce fut à la reine qu’on le dédia, car le roi mourut entre deux. » Tome III, p. 71.