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141. (1900) Molière pp. -283

Malgré ces obstacles, l’institution nouvelle commença avec un réel succès : l’Athénée de Paris, rivale de l’Institution royale de Londres, eut de belles soirées. […] Ainsi, le premier mobile de Molière avait été la colère qui l’avait lancé contre les dévots ; puis l’observation impartiale, à sa manière, était venue, et il avait mêlé avec une équité absolue ces deux sectes rivales et ennemies, qui ne se sont jamais trouvées unies et mêlées que ce jour-là dans le ridicule : les jésuites et les jansénistes. […] NAPOLÉON Mais dis-moi, avant tout, ne nous donneras-tu pas un troisième rival ?

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