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118. (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116

C’étoient les trois Docteurs Rivaux & le Maître d’Ecole. […] Mais cet éclaircissement causa un vacarme terrible ; la mere donna des marques de fureur, de desespoir, comme si Moliere avoit épousé sa rivale ; ou comme si sa fille fût tombée entre les mains d’un malheureux. […] Ils avoient deux petites pieces qu’ils faisoient rouler, Tricassin rival, & l’Andoüille de Troyes. […] Il a été pour le Comique, ce que Corneille a été pour le Tragique, mais Corneille a vu avant que de mourir un jeune Rival lui disputer la premiere place, & faire balancer entre eux le jugement du Parterre.

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