Dans Moliere, Eraste remet Pourceaugnac entre les mains de deux véritables Médecins ; il ajoute par-là un comique infini, puisqu’on rit en même temps de l’embarras du Limousin, & de l’ignorante effronterie avec laquelle les deux Docteurs débitent des raisons pour lui prouver qu’il est malade.