Mettre un vieillard amoureux aux prises avec une intrigante, qui le cajole, qui flatte son amour propre & sa tendresse ridicule, qui le prend par l’endroit le plus foible chez tous les hommes ; faire enfin sortir du combat l’avare vainqueur & triomphant, c’est-à-dire, sans délier sa bourse, tout cela me paroît autant de coups de pinceaux sublimes, qui peignent l’avarice poussée au dernier point. […] Pourquoi donc vouloir me rendre ridicule auprès de vous & de votre famille ?