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19. (1881) La philosophie de Molière (Revue des deux mondes) pp. 323-362

En un mot, elle manie le ridicule, elle ne le subit pas. […] Paul Mesnard, qu’Alceste est « quelquefois ridicule. » Ce terme dépasse la vérité. Alceste est quelquefois plaisant et risible ; mais il n’est pas ridicule. Il a toujours une dignité et une noblesse qui l’empêchent d’être ridicule. […] C’est le monde qui trouve Alceste ridicule et qui le tourne en ridicule.

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