Samson, — au contraire il était impossible d’être plus naïf, plus ridicule, plus bon enfant. […] Ainsi, d’une part, le ridicule, et d’autre part, l’exécration. […] Qu’ont-ils fait de leurs vices, de leurs ridicules, de tous les travers que Molière a poursuivis ? […] Ces ridicules sont remplacés par d’autres ridicules, comme les modes d’hier sont remplacées par les modes du lendemain. […] Du temps de Boissy, être un homme du monde, était une affaire, c’est presque un ridicule aujourd’hui.