/ 258
110. (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405

Et, à ce propos, on ne se fait point faute d’accuser les Poquelin de vanité ridicule et de sots préjugés. […] Il n’est pas possible, en lisant cette page, de ne point penser aux Précieuses ridicules que Molière va nous donner bientôt. […] Le 18 novembre 1659, la troupe de Monsieur joua Les Précieuses Ridicules. […] Cela, bien entendu, est ridicule et n’a aucun sens historique. […] La démonstration n’est pas moins saisissante, ni la conclusion moins terrible, parce que c’est le vice qui se charge de punir le ridicule.

/ 258