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108. (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314

Les Précieuses ridicules furent jouées pendant quatre mois de suite. […] Cependant l’homme de Cour, comme l’homme de Ville, qui croyait voir le ridicule de son caractère sur le Théâtre de Molière, attaquait l’Auteur de tous côtés. […] On représenta au Roi qu’il était de conséquence que le ridicule de l’Hypocrisie ne parût point sur le Théâtre. […] Et l’on a remarqué qu’il n’y a guère eu que les Précieuses Ridicules et l’Amphitryon qui aient pris tout d’un coup. […] et quel fléau du ridicule !

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