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90. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278

En se prêtant aux exhortations des personnes qui la pressaient de se convertir, elle disait : « J’admettrai tout, pourvu qu’on ne m’oblige pas de croire que ma tante de Villette sera damnée. » Madame de Neuillan la faisait venir chez elle de temps en temps, et la conduisait dans quelques maisons de sa société, entre autres chez Scarron, où elle fit connaissance avec mademoiselle de Lenclos, qui n’était pas alors galante, et qui, née riche et noble, voyait encore la bonne compagnie.

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