Ceux qui ont laissé sur la terre de plus riches monuments n’en sont pas plus à couvert de la justice de Dieu : ni les beaux vers ni les beaux chants ne servent de rien devant lui ; et il n’épargnera pas ceux qui, en quelque manière que ce soit, auront entretenu la convoitise. […] Nous ne voyons point de riches contents de leurs richesses, et nous voyons des pauvres évangéliques contents de leurs pauvretés. […] Si, en vertu de la profession que j’ai faite, quand j’ai quitté le monde pour vous suivre, je me tiens déjà si riche de votre pauvreté, que sera-ce, et que dois-je espérer des richesses de votre sainte demeure ? […] « Ceux qui ont laissé sur la terre les plus riches monuments, dit Bossuet, à propos de Molière, n’en sont pas plus à couvert de la justice de Dieu : ni les beaux vers ni les beaux chants ne servent de rien devant lui, et il n’épargnera pas ceux qui en quelque manière que ce soit auront entretenu la convoitise. »Voilà le dommage !