/ 147
120. (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98

— Ajoutez qu’il est riche ; comment endurer qu’il loge rue Richelieu, qu’il ait des meubles précieux, des lustres, des miroirs, des cabinets, des tableaux et des tapisseries, et que, reçu dans les meilleures compagnies, tout comédien qu’il est, il tranche assez du grand seigneur pour rendre tous les dîners qu’il reçoit ?. […] d’Agnès naturellement ; oui, d’un jeune objet, qu’entretient dans l’ignorance certain de la Zousse ou de la Source, vous pensez qu’il a bien autre chose à faire que de s’arrêter au nom, un homme riche, mais un fou, un ridicule… Le connaissez-vous point ?

/ 147