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113. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

J’y reviens aujourd’hui, après avoir étendu aux dimensions d’un volume l’esquisse rapide où j’avais d’abord compté me borner. […] Revenons à Molière. […] Sire, c’est tout ce qu’un sujet peut dire à Votre Majesté ; il faut dire le reste à Dieu… » Il y revient cependant. […] Le roi revint à son épouse dédaignée, et ses mœurs, jusqu’à la fin de ses jours, furent celles d’un chrétien. […] Sans la pénitence, tout effort pour revenir à la santé de l’âme avorte ridiculement, je dirais presque insolemment.

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