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84. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VII. De l’Amour. » pp. 121-144

Ce qui le lui fit connaître et peindre ainsi, c’est son universel génie, à qui rien d’humain n’était étranger ; et ce qui donne à ses peintures d’amour un caractère moral. c’est son bon sens, qui resta toujours debout malgré les assauts de la passion. […] Mais il est peut-être plus beau, meilleur, plus glorieux encore d’avoir su, en s’élevant dans ces régions supérieures et presque divines, rester sur la terre, et ne s’égarer jamais hors de la vie pratique et de la vérité humaine, là où Platon lui-même, emporté par son génie, s’envola hors de l’humanité447.

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