Mais la seconde et le reste, c’est peut-être à l’Odéon, second Théâtre-Français, qu’il faut les chercher. […] Que reste-t-il donc, si l’on ne peut s’en prendre aux directeurs ni aux confrères ni à l’auditoire, que reste-t-il pour expliquer l’abandon où gisent les classiques ? Il reste, hélas ! […] Au Théâtre-Français, il reste une tête de troupe ; elle est affaiblie cependant, et voyez ce qui la suit. […] Barral ; derrière Mmes Crosnier, Régis et Marie Samary, j’aperçois Mlles Rachel Boyer, Real et Nancy Martel ; le reste !