cet ami du peuple aurait été bien malheureux, si quelqu’un lui eût prédit que ses restes mortels seraient insultés par ce peuple qu’il avait tant aimé. […] Ces « charités » s’appliquaient la plupart du temps aux capucins : le registre de La Grange contient plusieurs mentions comme celles-ci :« Donné 9 liv. à un capucin révolté ou deffroqué, pour charité… Donné aux capucins 7 liv. 10 s… Donné aux capucins tous les restes de chambrées de 20 s., 45 s., 24 s., etc… »