La jeune innocente reste seule, se peint toute l’horreur de sa situation, & se jette dans la mer, en la priant de bien cacher sa honte. […] Moliere l’a si bien senti, qu’il n’a osé mettre qu’en récit, ou dans l’avant-scene, une infinité de choses que les Espagnols & les Italiens mettent hardiment sous les yeux du spectateur, qui sont réellement faites pour lui plaire, & qui nous paroîtroient encore plus monstrueuses que le reste de la piece.