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114. (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112

Il fallait bien que le reste du discours se mit à l’unisson du nom incomparable d’Arthenice. […] Tout le reste est dans le même goût. […] Mlle Molière représentait à ravir cette Célimène, qui reste jusqu’à la fin ce qu’elle est au commencement légère et coquette, et qui refuse de quitter les adorations du monde, pour suivre Alceste dans la solitude, ou si vous le voulez. […] Ce qui a été cause, au reste, de la fortune de Beaumarchais, c’est que la création de Figaro était toute politique, si nous pouvons nous exprimer ainsi. […] Pour avoir porté une main injurieuse sur les restes de Molière, il s’est trouvé immortel lui-même.

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