Puis, terminant le récit de tant de faiblesses : « Au reste, dit-il, Racine fut puni par où il avait péché. […] Elle abonde dans les cœurs; elle coule à flots dans cette scène prophétique où le grand prêtre voit se dérouler l’avenir, et chante à l’avance le triomphe de l’Eglise; elle brille d’un éclat suprême dans le tableau final, lorsque Joad lève le voile qui cache le descendant des rois de Juda, et s’écrie : Des trésors de David voilà ce qui me reste. […] Mais, en France, la critique a la main sèche; partout où elle a passé, il ne reste que des opinions.