Trop, selon quelques délicats qui en ont fait le reproche à Molière. […] Reproche d’invraisemblance. […] Les reproches de J. […] Or, cette rencontre eût été beaucoup plus grave si le fils, au lieu d’être un libertin, avait eu des vertus qui eussent donné du poids à ses reproches. […] La Bruyère lui-même qui lui reproche « le jargon, et le barbarisme », seize ans après sa mort, en 1689, n’a pas eu le sens équitable.