Il veut traiter le mariage avec mépris, comme il traite son père lui-même avec une contemption odieuse de la nature, lorsqu’il lui reproche de ne pas mourir assez vite pour le faire son héritier. […] L’esprit n’est pas à lui seul toute la comédie ; il y tient cependant une trop large place pour qu’on n’essaie pas de le défendre de deux reproches qui lui ont été souvent adressés, d’être futile et d’être méchant.