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235. (1900) Molière pp. -283

Avant tout, il est dominé par le besoin d’observer, par la nécessité de rendre ses observations telles qu’elles sont, dans leur extrême justesse. […] Rends-moi mon argent, coquin ! […] Peut-être outrait-il ce côté du rôle ; mais, ce qu’il y a de certain, c’est que, pour le rendre complet, il faut le jouer en comédie et en drame à la fois. […] Eh bien, ce genre de conception du monde et de la société, Molière l’a eu et l’a rendu, parce qu’il l’avait sous les yeux. […] Par là tu as rendu petit ce qui en soi était admirable ; tu as rabaissé ce que tu prétendais élever au-dessous même de ce qu’on estimait le moins.

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