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213. (1812) Essai sur la comédie, suivi d’analyses du Misanthrope et du Tartuffe pp. 4-32

Si le public daigne accueillir favorablement ces parties détachées, je ferai de nouvelles recherches ; j’examinerai encore plus scrupuleusement tout ce que j’ai fait, et je tâcherai de rendre mon travail plus parfait et plus digne de son approbation. […] Mais plus cette leçon était importante, plus Molière a multiplié son talent pour la rendre à la fois instructive et amusante. […] De tous les vices qui dégradent l’homme, lui font perdre l’estime de ses semblables, le rendent digne du mépris général, celui contre lequel la société entière doit réunir tous ses efforts, qu’elle doit attaquer et poursuivre continuellement, c’est l’hypocrisie.

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