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164. (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

Le principal personnage tient de l’étourdi proprement dit et du généreux, ce qui le rend très sympathique tout en le laissant très plaisant. […] Il arrive, par le fait même et par l’effet de cette façon d’instruire, que notre homme est rendu aussi sot qu’on peut l’être ici-bas. […] Jamais pièce française n’a été maniée par un de nos poètes, quelque méchant qu’il fût, qu’elle n’ait été rendue meilleure. […] De là la nécessité pour Béralde de nier les médecins en tant que pouvant rendre la santé. […] Et, comme il arrive toujours, votre sottise devenue manie vous rend méchant où au moins dur.

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