Arlequin demande à Argentine si elle aime la peinture ; elle lui répond qu’oui : Arlequin lui fait voir son portrait ; Argentine met à la place celui de Celio qu’elle a encore, & le rend à Arlequin qui le met dans sa poche, fort piqué qu’on n’ait pas voulu le garder. […] Arlequin veut encore voir ce portrait qu’on lui a rendu avec tant de mépris ; il voit, avec tout l’étonnement possible, la figure de Celio au lieu de la sienne ; il prétend que le peintre est un sorcier.