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163. (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454

Les mœurs étaient alors très diverses, de province à province, et les ridicules, par conséquent, étaient plus apparents ; ils devaient être particulièrement frappants, surtout, lorsqu’on les rencontrait, comme Molière dut le faire, chez les magistrats de petites villes qui refusaient ou accordaient l’autorisation de donner la comédie, qu’il fallait flatter, puisque la vie matérielle et le succès de la troupe dépendaient de leur bon plaisir.

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