Le verre ainsi refusé reste sur la table ; mais, à la fin de l’acte, quand Orgon, plus ébloui que jamais, veut faire donation de ses biens à Tartuffe, et sort en s’écriant : « Le pauvre homme ! […] le Tartuffe de Molière ne nous donne pas une seule fois la satisfaction d’être dans son secret, il se refuse durant toute la pièce à soulager la conscience des honnêtes gens avec le moindre des aveux, le moindre des a parte, — Molière ne lui a pas permis de se trahir au risque de rendre sa comédie plus venimeuse, — et Fechter ajoute un a parte à Molière !