Voltaire rapporte, en deux endroits de ses œuvres, une aventure tirée des livres sacrés des Brames, laquelle ressemble parfaitement à celle du général thébain. […] La dissertation qui précède l’Amphitryon est terminée ainsi : « Après cet examen de l’Amphitryon de Plaute, j’avais résolu de faire celui de l’Amphitryon de Molière ; mais je crois que ce que j’ai dit sur la comédie du poète latin, peut suffire à ceux qui voudront bien juger de celle du poète français. » Je ne doute pas que cette phrase n’ait donné lieu à l’anecdote rapportée par Voltaire qui n’a pas fait attention aux dates.