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163. (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179

C’est un moyen qui a toujours réussi. […] Il a écrit : « On dit que Malherbe consultait sur ses vers l’oreille de sa servante, et je me souviens que Molière m’a montré aussi plusieurs fois une servante qu’il avait chez lui, et à qui il lisait, disait-il, quelquefois ses comédies, et il m’assurait que lorsque des endroits de plaisanterie ne l’avaient point frappée, il les corrigeait, parce qu’il avait plusieurs fois éprouvé sur son théâtre que ces endroits n’y réussissaient point.

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