Térence se retrouverait encore dans la scène où Argante raisonne tout haut, tandis que Scapin répond sans être vu ni entendu d’Argante pour instruire le spectateur de la fourberie qu’il médite. […] On prétend que quand on lui reprochait ce plagiarisme, il répondait : Ces deux scènes sont assez bonnes. […] Et cet avare Écho qui répond par ta bouche, Serait plus indulgent à l’amour qui me touche. […] La première fois que cette comédie fut jouée, l’honnête homme répondait à l’apothicaire : Allez, monsieur, on voit bien que vous avez coutume de ne parler qu’à des culs. […] Sire, répondit Molière, nous raisonnons ensemble : il m’ordonne des remèdes, je ne les fais point, et je guéris.