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116. (1838) Du monument de Molière (Revue de Paris) pp. 120-

— Si les comédiens français avaient ainsi intéressé au souvenir de Molière, peut-être aurait-on répondu à l’appel d’une souscription destinée à transformer en monument la maison de la rue Richelieu. […] La régence a eu les siennes, qui sont d’un esprit délicieux; sous Louis XV, on a écrit des comédies charmantes; à la fin du XVIIIe siècle même, et à la veille de la révolution, le théâtre a eu des comédies très remarquables. — Citez-les, me dira-t-on. — Jouez-les d’abord, vous répondrai-je; et la citation sera inutile.

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