/ 179
90. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

Mais je ne tiens pas à élargir ainsi la question. […] La question est oiseuse à débattre, puisque nous n’y pouvons rien. […] Car toutes les questions de jeu passionnaient les hommes de la cour. […] La question d’amour n’est pas entrée dans ses calculs. […] Non, c’est une question de fait que je discute avec lui.

/ 179