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13. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

C’est Molière en main qu’il faut juger la question. […] Rentrons promptement dans la question spéciale qui doit nous occuper. […] Peut-être même est-il bon à toute femme d’étudier avec plus de soin une branche ou une question spéciales. […] Par là il rabaisse la question. […] La question n’est pas de celles auxquelles on peut répondre d’un mot.

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