C’est un homme qui ne manque ni d’intelligence, ni d’esprit, ni de fort bonnes qualités. […] Cela veut dire qu’Horace a pour lui la jeunesse, la grâce, la fraîcheur d’impressions, l’abondance de cœur, en un mot toutes les qualités que l’amour exige et qui entraînent l’amour. […] Pourquoi Molière a-t-il donné des qualités à Arnolphe ? C’est qu’il a voulu que ces qualités fussent inutiles. […] On a accordé d’abord que la pièce ne manquait pas de qualités ; qu’elle avait bien certainement de bonnes parties.