Il est des scenes dans lesquelles ces deux qualités réunies feroient le plus mauvais effet, & dont le dialogue ne brille que par des qualités tout-à-fait opposées. […] L’art de lui donner cette qualité consiste non seulement à le couper, ou non, à propos, à le rendre plus ou moins rapide, selon les circonstances : il consiste encore à ne pas faire parler un personnage lorsqu’il n’a rien à dire.