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99. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92

Tu te plains que ton fameux feuilleton de la semaine passée ait déjà pris son rang parmi les choses expirées… de quel droit serais-tu plus heureux qu’un prince même du sang royal de France, le prince de Conti, qui a publié, lui aussi, un Traité de la comédie et des spectacles que ni toi ni les tiens vous n’avez lu ? […] Il a publié une bonne édition des Œuvres de Marivaux, avec des notes et des commentaires, où se rencontre, au plus haut degré, le calme bon sens et l’intelligence du critique.

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